7 déc. 2008

67- Désinformation médicale!

 Le courageux combat du professeur et célèbre cancérologue Dominique Belpomme.

On nous ment, on nous ment sans arrêt sur toutes les questions les plus essentielles ! De plus en plus, on cherche à nous anesthésier, à nous endormir, à nous faire croire que tout sera prochainement pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ! Oui… mais à une petite condition : il faudra accepter le manque d'honnêteté et de spiritualité de nos gouvernements qui, depuis des années, à travers leur comportement inique et l'imbécillité de leurs soi-disant réformes, continuent TOUS à programmer sournoisement et méthodiquement la mort de notre belle planète et de toutes les formes de vie qui l'habitent.

On nous parle de lutte généralisée contre l'effet de serre, de prises de conscience collectives sans précédent, de mobilisation mondiale en faveur de la survie de la biodiversité. On nous fait de beaux discours, on nous prononce de belles paroles. Mais que se passe-t-il au-delà de ces mots dans la réalité des consciences ?!!! L'idéal des humains continue de se focaliser sur l'enrichissement personnel et l’idéal de ceux qui nous dirigent continue de se focaliser sur leur maintien au pouvoir coûte que coûte. Tous et chacun d'entre eux s'obstinent à essayer de trouver de nouvelles solutions pour accélérer la croissance de l'économie, car de cette croissance dépend le maintien du système actuel. Ils s'imaginent qu'en dopant la croissance, ils réussiront à résoudre les problèmes auxquels ils sont actuellement confrontés, amélioreront ainsi leur popularité et pourront ensuite se faire facilement réélire. Mais en réalité, chacun continue à accepter plus ou moins tacitement une logique de pillage de la Terre, sans se soucier le moins du monde des générations futures.
C'est pourquoi de plus en plus d'hommes et de femmes sont aujourd'hui perturbés, stressés. Ils deviennent dépressifs ou malades, sombrent dans l'angoisse et le désespoir. Chacun sent confusément que "quelque chose", un événement important, majeur est sur le point de se produire. Mais personne ne veut véritablement savoir. Car toutes les prophéties liées à l'Apocalypse et au changement d'Ère demeurent un sujet tabou, un sujet qui certes fascine mais qui en même temps bouscule notre logique économique et nous replonge dans nos vieilles terreurs face au nouveau et à l'inconnu.


Pourtant, ce qui mine le plus nos consciences, ce qui provoque ce désarroi latent au sein de l'humanité, ce n'est en réalité ni la crainte de la précarité, ni celle de la maladie, ni la peur d'un krach boursier, ni celle d'un quelconque cataclysme ; il s'agit de bien autre chose en vérité…

Ce qui rend les humains aussi inquiets, ce qui les déstabilise et les perturbe le plus profondément, c'est qu'ils sont progressivement en train de prendre conscience qu'on leur cache systématiquement et méthodiquement toutes les informations les plus importantes, celles qui pourraient enfin amener l'être humain à se préparer comme il convient à l'avènement imminent de l'Ère Nouvelle.

Évidemment lorsque vous combattez contre les gouvernements et les élus, alors on organise une campagne de salissage. En voici un court exemple:

30/10/2009

Les parlementaires épinglent les mensonges du Pr Belpomme
En 2007, le professeur Dominique Belpomme avait lancé une alerte médiatique à propos de la chlordécone. Habitué des mensonges éhontés, il a facilement trompé les médias auxquels il sert le discours de peur qu'ils attendent. Mais pas les membres de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques, qui condamnent sévèrement ses méthodes et ses mensonges.Par Emmanuel Grenier

Notant d'abord que les déclarations de Dominique Belpomme de 2007 n'ont pas servi à l'alerte (les vrais chercheurs l'avaient déjà lancée bien avant), ils soulignent que ses déclarations n'ont certainement pas contribué à aborder le dossier avec la transparence et l'objectivité qu'il aurait fallu apporter. A l’époque, le Pr Belpomme avait parlé de « catastrophe sanitaire » avant de jurer contre toute évidence qu’il n’avait jamais dit cela. Sommé de s’expliquer, il a d'abord incriminé les journalistes, puis les "épidémiologistes antillais" avant de finalement reconnaître les erreurs de son rapport.

Tirant la leçon de cette affaire, les députés lancent un avertissement : « Dans toute démocratie, il faut que des lanceurs d'alerte tirent la sonnette d'alarme lorsqu'un danger menace des populations ou l'environnement. Mais ce message ne peut pas être uniquement médiatique. Il doit s'appuyer sur des bases scientifiques solides. »

Les députés de l'OPECST ne se sont pas contentés de survoler le dossier, contrairement à Belpomme, dont le « travail » a consisté en quelques conversations avec les écologistes antillais et à réutiliser les travaux de chercheurs capables, en les biaisant. Ils concluent à un accident environnemental de grande ampleur, mais l'impact sanitaire est selon eux plus mesuré.

Ils citent William Dab, ancien Directeur général de la Santé et Président du comité scientifique international du « plan chlordécone », qui souhaite parvenir à un équilibre entre la position négationiste affirmant qu'il n'y aurait ni impact ni effet de faibles doses de chlordécone et une position hyper alarmiste indiquant qu'il s'agit d'une catastrophe de santé publique. Ce n'est vraisemblablement ni l'un ni l'autre et, conclut-il, « il va falloir vivre avec la chlordécone et limiter les inconvénients sur la santé ».

« Belpomme dissimule la vérité, manipule et fait preuve d'une ignorance délibérée ».
(Dr Luc Multigner, INSERM, cité dans Marianne)

Comment s'attendre à autres choses lorsque quelqu'un d'important ose se prononcer sur le déraillement des gouvernements.
On comprend donc la conclusion des députés, qui vaut d'être citée intégralement : « L'expertise scientifique a besoin d'une confrontation des avis. C'est ce que nous faisons à l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques. Elle doit être, à notre sens, collective, publique et contradictoire. Il est quand même singulier que les médias aient donné sur ce dossier la parole quasi exclusivement à certains, alors que les scientifiques de l'INSERM, de l'INVS, de l'AFSSA ont toujours opposé des démentis aux affirmations du Pr. Belpomme.
Les écologistes qui soutiennent Belpomme, comme Corinne Lepage, Ségolène Royal, Nicolas Hulot, Jean-Marie Pelt, Yann-Arthus Bertrand ou Gilles-Eric Séralini, doivent sérieusement reconsidérer ce soutien s'ils veulent garder une quelconque crédibilité.
Publié le 10 juillet 2010

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