7 déc. 2008

26- L'heure du choix a sonné (suite)


Il paraît que moi, et toi chère personne serions des Maîtres de Lumière. Notre âme aurait décidé de faire un pèlerinage sur une planète appelée Terre. En abaissant notre lumière, en effaçant la mémoire de qui nous étions, nous avons littéralement plongé dans la troisième dimension dans un corps physique. Pourquoi un tel défi: Il semble qu'étant et qu'ayant toujours été des Êtres de Lumière, nous avons voulu nous créer un corps physique, un véhicule d'exploration afin de pouvoir toucher notre création telles les fleurs, de percevoir leur essence, contempler des arbres, savourer le parfum des choses et percevoir leur beauté. Désormais, nous pouvions se voir les uns les autres, apprendre l'un de l'autre, expérimenter et jouer à l'aventure complètement neuve de la matière grâce à ce que nous appelons: les sentiments. La densité de notre nouvelle enveloppe nous permettait de s'exprimer dans une réalité de plus, celle de la Pensée manifestée dans la matière. Nous devenions des Dieu-homme, homme-Dieu, un Dieu en expression dans la merveilleuse forme humaine.
Lorsque j'ai lu ce passage dans le livre Blanc de Ramtha (page 101), j'étais dans un état de béatitude totale et mon être entier vibrait à tous ces mots que je lisais. Pour moi, cela faisait tellement de sens. Et là je pensai à Jésus qui s'était fait homme et qui s'était ascensionné, qui se disait mon frère, et qui nous affirmait que nous pouvions accomplir tout ce qu'il avait lui-même accompli. C'est alors que je me suis permise d'accepter cette nouvelle possibilité tellement plus excitante que celle que toutes les églises imposaient aux humains dans le but de nous contrôler.

Par contre, lorsque tu fermes le livre, que tu te regardes dans le miroir, que tu commences à examiner les autres Hommes-Dieu, alors tu commences à douter. Comment des Dieux auraient tomber si bas? Alors là, je réalise que je porte un jugement, que je sombre dans le piège du bien et du mal toujours inventés par les religions. C'est difficile de se libérer de ces vieilles notions. Ramtha dit ceci: il n'y a ni diable, ni enfer, ni péché, ni damnation, ni Dieu retoutable.
Et toi, chère personne que penses-tu de cette notion que l'homme soit Dieu?
Ce qu'il nous reste à faire est de retrouver la mémoire de notre divinité. Nous connaissions le danger d'oublier notre identité divine et de se laisser prendre dans la survie physique. C'est hélas ce qui n'a pas manqué de se produire. Profondément dans nos âmes, nous savons n'être pas seulement de la matière, de la chair et du sang. Il s'agit maintenant de s'ouvrir davantage à cette possibilité et de s'interroger en se disant: Et si c'était vrai ? La seule chose à faire est de continuer à se poser des questions. Les réponses viendront en temps et lieu.
Posté le 25 mai 2009

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